Yann Boursier, ma vie mon œuvre 🙂

Yann Boursier

Vous souhaitez en savoir plus sur moi ?

Je suis Yann Boursier et si vous tombez sur cette page qui n’est pas accessible depuis la page d’accueil, c’est que vous avez entré mon nom sur un moteur de recherche.

Vous souhaitez en savoir plus sur moi ?

Et bien c’est d’accord !

Voici ce que je peux vous dire et que vous ne lirez pas ailleurs.

Contactez-moi pour en savoir plus, et faire connaissance ! 🙂

Yann Boursier, un enfant heureux

Fils unique, j’ai grandi dans les années 80 à Bellevue, un quartier populaire de la banlieue Nantaise.

 

Dans une école publique, entouré de nombreux copains de toutes origines, je sortais souvent jouer dehors avec mes amis jusqu’à ce que nos parents nous appellent par la fenêtre pour nous demander de rentrer.

 

A l’école, j’ai toujours plutôt été celui qui fait rire les copains. Un trait de ma personnalité que j’ai d’ailleurs conservé.

 

Je vivais seul avec ma mère qui travaillait en usine mais qui avait réussi à acheter un studio sans fenêtre (oui ça existe) aux Sables d’Olonne. Nous y passions donc toutes nos vacances et de nombreux weekend.

J’imagine que cela permettait à ma mère de fatiguer un petit garçon qui était plein d’énergie.

 

Un peu comme tous les enfants, j’aimais les jeux vidéo (Amstrad CPC 464, Nintendo, puis Super Nintendo), les bandes dessinées, les dessins animés japonais que nous faisait découvrir le Club Dorothée et j’aimais surtout m’amuser avec les copains.

 

C’est pendant ces années d’enfance que j’ai rencontré mes meilleurs amis. Ceux qui comptent pour moi encore aujourd’hui et avec qui nous partageons les souvenirs de cette époque insouciante.

 

Yann Boursier, un adolescent heureux mais avec quelques complexes

D’un naturel gourmand, ce qui est là aussi toujours vrai, j’ai commencé à avoir un léger surpoids vers l’âge de 12 ou 13 ans. Un surpoids qui m’a complexé assez longtemps. C’est-à-dire jusqu’à ce que je m’en débarrasse vers 18 ans.

De même, toujours entouré d’amis et toujours très actif, je n’avais jamais vraiment eu à craindre pour ma sécurité dans le quartier où j’habitais, jusqu’à mes 15 ans où je me suis fait agresser à plusieurs reprises. Pour la première fois, j’ai éprouvé un sentiment de faiblesse que j’ai décidé de ne plus jamais ressentir.

C’est ainsi que j’ai commencé à faire de la boxe pied-poing et à m’intéresser à la pratique des sports de combat.

A cette époque j’étais surtout un adolescent avec beaucoup d’imagination qui étais passionné de mangas, du Japon et qui rêvait de faire le tour du monde en 4×4. Les jeux de rôle et les « cartes Magic » ont occupé pas mal de mes weekends aussi.

J’ai eu l’occasion de voyager à 2 reprises en Italie et découvrir la Sicile dans le cadre d’un échange scolaire LV2 italien. Ce qui n’a pas manqué de me donner encore plus envie d’explorer le monde.

Un autre événements un peu « traumatisant » de cette époque fût de découvrir en 3ème que mon tendre espoir de devenir architecte n’allait pas être possible.

Heureusement la conseillère d’orientation me proposait en échange un CAP/BEP carreleur ou tout autre métier qui ne nécessitait pas d’avoir de trop bonnes notes.

J’hésitais donc entre la cuisine et la vente. Ma mère fut de bon conseil dans ce choix en me disant que le métier de cuisinier était trop difficile et que la vente me conviendrait mieux.

Je me découvre un goût pour les études

Je poursuis donc mon parcours scolaire en lycée professionnel dans la filière « commerce » qui nous apprenait à être vendeur en magasin.

Je commence ainsi mes 2 ans de CAP/BEP.

Bien que désespéré d’avoir raté l’ascenseur social des études générales, je découvre qu’au milieu des autres exclus du parcours je ne suis pas si nul.

Je découvre aussi que j’aime la relation client et que la vente me va bien.

Enfin, quand on m’explique que si je bosse bien, je pourrai quand même avoir un BAC (même si c’est un bac pro) cela me donne du courage.

Je me dis que je peux encore faire quelque chose pour effacer le souvenir de ma mère qui pleure parce que mes notes ne me permettent pas d’aller où je voulais vraiment.

Je deviens assez rapidement le meilleur de ma classe d’étudiants pas trop motivés, puis je passe en bac pro avec des gens un peu plus motivés et enfin en BTS avec des personnes très motivées cette fois-ci.

J’obtiendrai la meilleure note de ma classe à l’examen de BTS. Note que j’ai oubliée, mais à l’époque cela me semblait important.

Enfin, mon BTS en poche, je ne voulais pas travailler mais je voulais voyager et VIVRE.

De plus, mes amis me parlaient de la fac et des fêtes étudiantes… J’avoue que c’est quelque-chose qui m’intéressait plus que de bosser en grande distri ou dans un service commercial.

J’ai donc étudié le japonais à la fac avec dans l’idée d’y partir un jour.

Un pied dans le monde professionnel

Pendant cette période d’études en lycée pro, j’ai à la fois fait beaucoup de stages, d’actions commerciales mais aussi quelques petits boulots et des saisons : Vendeurs en magasin, employé libre-service au supermarché, plongeur en cuisine, intérimaire, vendeur en centre d’appel, vendeur de journaux en porte à porte, organisation d’événement, animation de stands…

Tout un tas d’expériences, qui n’ont pas toutes été faciles mais qui m’ont fait grandir et que je ne regrette pas.

Yann Boursier, le début des voyages

Pour voyager longtemps et loin sans argent quand on est étudiant, il n’y a pas trop de solution sinon de travailler à l’étranger.

J’ai découvert que cette forme de voyage permet surtout de rencontrer les vrais gens du pays sans être perçu comme un touriste.

C’est donc ce que j’ai fait d’abord à Londres où j’ai travaillé 2 étés, puis à New York, ou j’ai travaillé un été en magasin de prêt à porter avec un visa vacances travail, puis au Japon toujours avec ce même type de visa.

C’est d’ailleurs en partant pour 6 mois que j’ai fini par rester 5 ans au Japon.

Mon premier job a été dans un restaurant de Osaka. Expérience qui m’a permis de bien maîtriser le japonais.


Pour la suite, c’est-à-dire le début de ma carrière dans le recrutement IT qui a commencé à Tokyo,

je vous invite à aller sur la page d’accueil de ce site : https://www.recruteur-it.fr

ou à visiter mon profil LinkedIn https://www.linkedin.com/in/yannboursier/

J’espère que cette lecture vous aura diverti.

Take care !